Aux antipodes du premier chapitre, ce travail est la suite direct du huit clos entamé l'année précédente qui consistait à plonger dans le quotidien de la famille Ciurar à Toulouse. Ici il ne s'agit pas d'immigration ou d'intégration.
Samuel Niblack est pasteur, sa femme Rebecca fait l'école à la maison à leurs cinq enfants. 
Famille nombreuse au parcours pas aussi tranquille que l'on aurait pu imaginer. 
Rester soudé après la perte d'un enfant et les problèmes de santé de Constance, la toute nouvelle venue dans la famille, telle est la force qui anime la famille Niblack.
Jonglant entre quotidien et épreuves frontales les Niblack avancent avec leur tribu vers des lendemains meilleurs. 
Ainsi Samuel me surprendra en dégainant à son tour un magnifique "Demain, ça ira mieux."

Ce projet à reçu le soutien de la Bourse d'aide à la création de la photographie documentaire du CNAP​​​​​​​ et à été réalisé dans le cadre de la commande "La France VUE D'ICI" crée par Mediapart et le festival ImageSingulières.

Travail personnel

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